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Sénégal-Côte d’Ivoire approche à grands pas. A quelques jours de ce match décisif, la forme débordante des attaquants Sénégalais hante les Ivoiriens. Très préoccupée, la presse Ivoirienne tire la sonnette d’alarme, face au danger qui guette les coéquipiers de Didier Drogba, devant la bande à Demba Ba, considéré comme l’arme fatale des Lions.

Les Ivoiriens ne dorment plus que d’un seul œil. A quelques jours du match contre le Sénégal, c’est la panique généralisée.
La forme débordante des attaquants Sénégalais inquiète les observateurs et, notamment, la presse locale qui tire la sonnette d’alarme.
En effet, celle-ci se fait l’écho des prestations étoilées de certains attaquants Sénégalais, en regain de forme, à quelques jours seulement du duel décisif entre “Lions” et “Eléphants”.

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Le joueur qui fait figure d’épouvantail, aux yeux de la presse ivoirienne, c’est Demba Ba qui a déjà claqué six buts dont deux doublés
En effet, le numéro 19 des Lions est considéré comme la plus sérieuse menace pour les ivoiriens qui l’assimilent à un poison pour la bande à Kolo Touré.
Mieux, vu sa forme époustouflante du moment, les ivoiriens voient mal ce dernier cirer le banc des remplaçants du Sénégal, comme ce fut le cas, lors du match-aller.
Ce n’est pas seulement Demba Ba qui est redouté, Papiss Demba Cissé étant également bien surveillé par les spécialistes du foot Ivoirien.
Mieux, le réveil de l’ancien buteur de Fribourg, qui a récemment inscrit son premier but de la saison, en coupe de la ligue, après une disette de huit matches, préoccupe les observateurs avertis du football Ivoirien.
Enfin, ces derniers ne pouvaient occulter le phénomène Ibrahima Touré, grande révélation de la ligue 2 française. Selon beaucoup de publications locales, les performances de l’attaquant monégasque méritent une attention particulière. La presse Ivoirienne insiste, notamment, sur le triplé d’Ibra Touré qui a dejà, à son actif, neuf buts, en huit matches.
De quoi corroborer les craintes des Ivoiriens qui donnent raison à Sabri Lamouchi, lorsqu’il disait, après la victoire des Eléphants, à Abidjan, que rien n’était encore joué.  

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