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Alors que l’Europe semble lacher du lest avec Michel Platini, suspendu  90 jours par la Commission d’éthique, l’Afrique, elle, se terre dans un silence bruissant de paroles. Comme si le continent ne disposerait plus des fils de la trempe de Lamine Diack pour prétendre présider aux destinées du football mondial.  Que nenni ! Des rumeurs de plus en plus persistantes, citent Mamadou Diagna  Ndiaye comme candidat à la succession de Blatter.

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Des personnalités sportives sénégalaises et africaines travailleraient l’homme d’affaires.  Interpellé hier, jeudi 22 octobre, à la sortie de la cérémonie sur la vente des cartes de son parti, El Hadji MalickGakou, indique que le patron du Comité national olympique et sportif sénégalais (CNOSS) serait un candidat idéal pour le Sénégal mais aussi pour l’Afrique afin d’accomplir une telle tache. «Diagna Ndiaye, c’est mon grand frère. Il est aussi mon ami. S’il venait à déclarer sa candidature pour la Fifa, je suis persuadé qu’il servira de tout son cœur le sport sénégalais, africain et mondial», a déclaré l’ancien ministre des Sports.

Et le président du Grand Parti d’ajouter : «Diagna a les compétences. Je pense que si le Sénégal arrive à se souder derrière lui, je suis persuadé que nous allons avoir le plus grand président de l’histoire du football africain et mondial.»

«Diagna le mérite. Je pense que c’est l’homme du moment. C’est l’homme qu’il faut à la place qu’il faut», tranche-t-il.  Rappelons que Mamadou Diagna Ndiaye a été élu membre au Comité international olympique lors de sa 128ème session à Kuala Lumpur. Auparavant, il avait présidé la Fédération sénégalaise de tennis, le Confédération africaine de tennis avant d’occuper la présidence du CNOSS.

C’est également M. Ndiaye qui avait dirigé le Comité de normalisation du football (CNF).

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