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Réélu à la tête de la présidence de la Ligue sénégalaise de football professionnel (LSFP) pour un nouveau mandat de 4 ans, Saer Seck a évoqué trois points importants qui contribueront sans doute à la réussite de sa nouvelle mission.

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Financement

« Ce n’est pas fondamentalement une question de fonds. Il n’y a pas besoin d’un grand budget mais d’être convaincu, uni, et d’aller chercher l’argent en faisant preuve d’initiatives. En faisant de sorte que notre spectacle gagne en crédibilité et que les clubs puissent en bénéficier ».

Subventions

« Il y a déjà une subvention donnée aux clubs : 2,5 millions pour les clubs de L1 et 2 millions pour les clubs de L2. Mais il ne faut pas vendre la peau de l’ours. Si nous avons pu gérer la Ligue et les compétitions, c’est que nous n’avons pas dépensé l’argent qu’on n’a pas. Il faut travailler pour en avoir. Je l’ai dit en conseil d’administration, je l’ai réitéré ici, la Ligue, en tant qu’instance, n’a pas vocation à être riche. L’argent qu’on va chercher appartient aux clubs, il sera distribué selon les clés de réparation ».

Partenaires

« Si nous n’avions pas de pistes, je n’aurais pas demandé un nouveau mandat. J’espère qu’à l’instar de la subvention faite à la presse, on pourra parler de subvention faite au football. Certains sont en négociations. Il ne faut faire l’effet d’annonce. Avec Orange, la négociation est en cours ; les deux parties ont la volonté de résigner le contrat pour au moins une durée de 4 ans. Ceci dit, je dois avouer que les négociations sont très âpres. Orange souhaite dépenser le moins d’argent possible, tout le contraire de la Ligue. Le point d’équilibre n’est pas encore atteint. Nous ferons les efforts nécessaires pour y arriver. Je pense que cela ne sert à rien de se précipiter. Le Trophée des champions est une bonne date pour conclure mais je suis convaincu que nous trouverons un accord».

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