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Après avoir occupé les commandes de la Ligue 1, le Ndiambour de Louga est rentré dans les rangs à quelques journées de la fin du championnat. Cheikh Nguirane qui a pris le relais de Cheikh Boucounta Cissé, sur le banc des Lougatois, veut arrêter au plus vite l’hémorragie.

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A six journées de la fin du championnat, le nouvel entraîneur du Ndiambour de Louga, Cheikh Nguirane veut remonter la pente lors de la prochaine sortie contre l’équipe Suneor de Diourbel. «Nous sommes en regroupement pour le  match qu’on doit jouer le dimanche prochain contre la Sunéor de Diourbel. Et ce regroupement fermé doit durer 1 mois. Nous travaillons pour redonner une âme  à notre  groupe», confie-t-il suite à la spirale  dans le quel le club lougatois se trouve. Depuis le coup d’envoi de cette deuxième phase, l’équipe de Ndiambour court, en effet, toujours derrière  une première victoire
. Sur 7 matches joués, l’équipe n’a décroché 3 matches nuls contre 4 défaites. Un parcours qui tranche nettement avec  la phase-aller durant laquelle la bande à  Sidy Dieng  a remporté 6 de ses 13 matches joués pour n’en perdre que 4 rencontres et 3 nuls. De la 2e place qu’ils ont occupée au  terme de la phase aller,  les Lougatois se sont pointés  au 10e rang et en position de première équipe non relégable avec (23 pts). Une situation qui les met aujourd’hui dans l’urgence de se relever au plus vite après le remplacement à main levée de son entraîneur Boucounta Cissé et son remplacement par Cheikh Nguirane.
 «Depuis mon arrivée on a changé de discours. On a vu que les joueurs sont frustrés par les défaites mais aussi par la pression venant des supporters », indique le nouvel entraîneur Lougatois suite cette défaite essuyée par son équipe à l’issue de la 20e journée. « Il est normal qu’une équipe traverse des hauts et des bas dans une compétition. Mais notre contre performance a coïncidé à un moment très important du championnat. Pour une équipe qui vient fraichement de la ligue 1, il fallait avancer doucement et sûrement pour le maintien même si l’objectif change après», explique Cheikh Nguirane.
-LeQuotidien

 

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