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Aliou Cissé est porté par un destin favorable. Son parcours sportif escorté par une part de chance et de réussite, lui permet d’escalader sans risque les sommets les plus vertigineux.

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Footballeur à la palette technique limitée, mais doté d’une âme de gagneur, il a transporté nos rêves matinaux jusqu’en Asie au Mondial 2002, après nous avoir bercés au Mali la même année. Jeune entraîneur au palmarès vierge, le natif de Ziguinchor était de ceux qui ont fait retentir notre hymne national au concert des nations olympiennes en 2012 à Londres. Cinq ans après, il prolonge la belle symphonie, plus que jamais décidé à sécher nos larmes, à deux jets du lieu de nos drames : la Guinée-Equatoriale. Bata et Mongomo ont été un cauchemar, c’est à quelques kilomètres de ces lieux qu’il est allé coucher son nom dans les annales du football sénégalais. Finaliste d’une Can et quart de finaliste mondial en tant que joueur, Aliou Cissé, qui a connu les Jo en 2012, découvre demain les saveurs d’une Coupe d’Afrique en étant sur le banc, confronté à une vision géométrique du jeu qui l’éloigne d’une vie en ballon. Ce n’était pas exactement sa place au temps de la belle épopée de 2002. Mais demain il en aura le privilège et pourra bomber le torse d’avoir connu ce qu’aucun autre Sénégalais n’a pu connaître : les sensations d’une Coupe du monde, d’une Coupe d’Afrique et des Jo. Il aura livré toutes ces batailles.

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