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Depuis la fin de la CAN U23 que le Sénégal a abritée en décembre dernier, la direction du stade Léopold Sédar Senghor est à pied d’oeuvre pour rendre vivante la pelouse du stade Léopold Sédar Senghor, qui accueillera la 3ème journée des éliminatoires de la CAN-2017 entre le Sénégal et le Niger, le 26 mars prochain.

Un tour dans l’enceinte du stade léopold Sédar Senghor permet de voir une pelouse qui laisse apparaître des zones dénudées. Depuismaintenant deux mois, la direction du stade tente d’y remédier. Des spécialistes du gazon sont ainsi mobilisés pour le regarnissage. les ouvriers ont mis l’accent sur la réparation des trous béants et, hier matin, ils ont semé du terreau, cet engrais qui permet au gazon de reverdir rapidement.

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Sur place, on nous a signalé que cette période de l’année est l’une des meilleures pour regarnir une pelouse abimée, mais le pessimisme est manifeste. «Je pense qu’il fallait semer à l’automne. C’est la même chose pour le regarnissage. Parce qu’actuellement, on doit veiller à assurer un arrosage régulier pour corriger un semis mal réussi», indique un travailleur qui, comme ses collègues, craint que leur travail ne porte pas les fruits escomptés. Pour la simple et bonne raison que la directrice Cécile Faye les aurait informés, hier matin, de l’emploi du temps des équipes sénégalaise et nigérienne.

Si les lions doivent y avoir cinq jours d’entraînement, le Mena, quant à lui, aura deux séances au programme. C’est-à-dire l’avantveilleet la veille du match. Face à cette situation, les ouvriers estiment qu’il sera difficile d’avoir une pelouse adéquate d’autant  plus qu’après avoir semé le terreau, le temps maximal d’attente est de deux semaines environ pour tailler la pelouse et voir si la verdure du gazon est notée.

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