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Son sauvetage in extremis la saison passée est encore dans toutes les têtes, et pourtant l’AS Monaco pointe déjà en position de lanterne rouge de la Ligue 1. Après un nouveau naufrage à Metz (3-0), le cauchemar recommence pour l’équipe de Leonardo Jardim.

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Bienvenue (à nouveau) en enfer ! On pourrait résumer ainsi le début de saison des Monégasques, que leurs supporters avaient peut-être imaginé vaccinés par un dernier exercice aux allures de chemin de croix, vécu le plus souvent dans la peau d’un relégable, mais conclu par un sauvetage sur le fil à la dix-septième place de la Ligue 1.

Le genre de parcours qui vous fait dire: “Plus jamais ça !” Sauf qu’à Monaco, l’équipe de Leonardo Jardim fait déjà bégayer son histoire récente et ouvre à nouveau, après seulement deux journées de championnat, les portes de l’enfer en grand avec deux défaites face à Lyon, à Louis-II, puis samedi, à Metz, contre le promu. A chaque fois sur le même score sans appel (3-0), qui relègue le club de la Principauté en position de lanterne rouge. Personne n’a pour l’instant fait pire.

Est-ce parce qu’il n’a lui pas vécu le calvaire de la saison passée (*), Keita Baldé, de retour cet été sur le Rocher, offre une analyse avec un peu plus de recul sur la situation : “Je préfère avoir la qualité d’un collectif que la qualité individuelle. Sur la durée d’un championnat, la qualité individuelle de nos joueurs ne suffira pas. Il ne s’agit pas d’un tournoi, c’est un championnat avec beaucoup de matches donc il faut de la qualité collective”, a ainsi déclaré l’attaquant sénégalais au micro de beIN Sports. Sauf qu’à accumuler les transferts dans tous les sens, et après la gestion pour le moins déroutante de son banc, il y a maintenant bien longtemps que Monaco a perdu de vue une expression collective digne de ce nom.

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